Pour la médecin Erika Preisig, l’accompagnement en fin de vie est un droit humain, chaque personne ayant le droit de décider où et comment elle souhaite mourir. Elle en discute avec le théologien Mathias Wirth, professeur d’éthique à l’université de Berne. Le Generationentalk, organisé par “und” le tandem des générations, aura lieu le 25 janvier 2022 à la maison des générations de Berne.

L’euthanasie active est interdite en Suisse, mais l’accompagnement des mourants est autorisé. En Suisse, le débat sur le pour et le contre de l’accompagnement de fin de vie est mené depuis des années de manière transparente et honnête. Ainsi, les patients suisses en fin de vie ont le libre choix entre la médecine conventionnelle, les soins palliatifs et l’euthanasie. Erika Preisig se bat pour que l’accompagnement en fin de vie soit considéré comme un droit humain, car chaque personne a le droit de décider où et comment elle souhaite mourir. Elle discute avec Mathias Wirth. Il est théologien et professeur d’éthique à l’université de Berne. Le premier Generationentalk 2022, organisé par “et” le tandem des générations, aura lieu le 25 janvier au CaféBar de la Maison des générations de Berne.

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Les invités

• Erika Preisig (63) travaille depuis 37 ans comme médecin généraliste et s’engage depuis 13 ans pour l’acceptation mondiale du suicide assisté. Elle est présidente de l’organisation d’aide à la mort Life Circle.
• Mathias Wirth (38 ans) est théologien et professeur d’éthique à l’université de Berne.