Avec cinq tandems, nous voulions participer à un slowUp en tant qu'ambassadeurs d'intergeneration.ch avec le projet "Tandem des générations". Tel était notre objectif lorsque nous avons commencé à préparer le projet au printemps. Nous n'avions pas osé rêver à l'époque que nous serions plus de trois fois plus d'équipes à pédaler dimanche dans le Seetal, entre les deux cantons de Lucerne et d'Argovie. 18 équipes, c'est un beau succès et cela confirme notre thèse selon laquelle les jeunes et les moins jeunes vont ensemble et ont beaucoup à gagner les uns des autres. Ce magnifique résultat était toutefois le fruit d'intenses préparatifs.

De nombreuses organisations, initiatives et projets ont été contactés. Nous avons reçu beaucoup d'encouragements et de soutien. Le projet a reçu l'aide la plus importante de la part des organisateurs du slowUp, surtout en la personne de Claudia Balzli-Leone, responsable du projet, ainsi que de la société de développement de la région, IDEE Seetal AG, et de son directeur général, Hans Peter Stutz. Le parrainage de notre ambassadrice VIP et conseillère aux États Pascale Bruderer a attiré l'attention des médias. Notre deuxième VIP, le sportif et Ironman 2005 Christoph Mauch, ainsi que Flyer AG avec ses eTandems, ont apporté une aide idéelle et matérielle. Il s'est avéré une fois de plus qu'il faut toujours chercher des compagnons de route et des partenaires pour les projets, surtout lorsqu'il s'agit d'une cause sociale.
Nous avons reçu de nombreuses réponses positives, mais aussi des réponses négatives. Était-ce à cause des vacances, d'un délai de planification trop court ou encore de raisons non indiquées qui ont conduit à une réponse négative. Mais nous ne nous sommes pas laissés décourager et avons continué à chercher. De plus, nous avons pu nouer de nombreux nouveaux contacts avec lesquels nous travaillerons à l'avenir. Donc : toujours s'accrocher et penser positivement 😉
. Justement, la semaine dernière, nous avons reçu un certain nombre de promesses d'engagement de la part d'autres participants. Le “bouche-à-oreille” ; prend parfois du temps ...

Le dimanche, le moment était venu. Lors de l'inauguration, la conseillère aux Etats Pascale Bruderer s'est une nouvelle fois engagée en faveur de l'engagement intergénérationnel, renforçant ainsi le grand intérêt médiatique déjà existant. La chaîne locale Radio Sunshine, les quotidiens régionaux Neue Luzerner Zeitung et Aargauer Zeitung ainsi que le Seetaler Bote avaient déjà fait des reportages en amont. Le dimanche, Pascale Bruderer, Christoph Mauch et quelques participants ont été très demandés par les médias pour des interviews et des photos. Les reportages radio et les articles de presse sont un bon premier résultat pour la première manifestation publique d'intergeneration.ch. Mais cela souligne l'importance d'un bon travail de marketing et de la coopération avec les médias. Quelques heures après l'événement, on pouvait déjà voir des tandems intergénérationnels sur trois des 20 photos d'une galerie d'images en ligne de la Neue Luzerner Zeitung. Mais nous avions aussi de très beaux sujets d'images.

L'autopromotion de certains porteurs de projets parmi les participants est également justifiée et nous l'avons beaucoup encouragée. Il convient de mentionner ici Ernst Meier, du Jugendchor Seetal, qui a présenté son projet au public de diverses manières : Avec des panneaux publicitaires sur son vélo, avec un flyer sur son sac à dos et avec une agitation active et toujours amusante dans sa propre cause. “Ce n'est qu'en étant soi-même actif que l'on parvient à des multiplicateurs et surtout à des sponsors” ; tel était son conseil. Avec le tandem intergénérationnel, il a rencontré dimanche quelques personnes intéressantes et a pu nouer de nouveaux contacts. C'est précisément à cela que le projet était destiné : entretenir et élargir un réseau, sensibiliser les visiteurs et les décideurs et les aborder directement.

Lors d'un apéritif d'arrivée convivial, nous avons encore discuté de la journée et du projet avec tous les participants et avons fêté les résultats obtenus. Il faut aussi avoir du temps pour cela.
Maintenant commence le suivi : contrôle précis des résultats, suivi des discussions, échange et préparation du matériel, sans oublier une critique des manœuvres. Car il faut continuer le plus vite possible.